Musik
Dans le cadre du festival Strasbourg Méditerranée
La première violence est de s’arroger le droit de disposer de l’autre. Au nom d’une supériorité légitimée par la naissance, le sexe, l’argent, la position sociale ou encore par des lois humaines ou divines.
Elle a tué un homme, son mari. Quinze ans après avoir purgé sa peine de prison, a-t-elle vraiment retrouvé la liberté ? Être une femme en Algérie est déjà propice à l’enfermement et au silence.
Nulle autre voix est un texte sur la violence ordinaire d’une société qui ne pardonne rien aux femmes – jusqu’à ce que, parfois, elles commettent l’irréparable.
distribution
Maissa Bey : texte
Kheireddine Lardjam :adaptation théâtrale et mise en scène
Linda Chaïb et Salah Gaoua :acteur·rice
Manu Cottin : création lumière
Thibaut Champagne : son
Solidaire et investie dans la lutte contre les violences envers les femmes et plus généralement envers le genre humain, la Ville de Schiltigheim ouvre ses horizons et se penche sur la condition de la femme à l’extérieur de l’hexagone, et sur tout ce qui contribue et initie les revendications féministes.
Dans un premier temps, en lien avec le Festival Strasbourg Méditerranée, le texte de Maissa Bey interrogera la violence ordinaire.
Dans un deuxième temps, en partenariat avec l’Association Culturelle des Afghans de Strasbourg, la condition de la femme à travers les époques sera évoquée à travers la musique et la poésie afghane.
Parce qu’il est essentiel de continuer à nous mobiliser massivement afin de défendre les droits de toutes les femmes d'ici et d'ailleurs.
La première violence est de s’arroger le droit de disposer de l’autre. Au nom d’une supériorité légitimée par la naissance, le sexe, l’argent, la position sociale ou encore par des lois humaines ou divines.
Elle a tué un homme, son mari. Quinze ans après avoir purgé sa peine de prison, a-t-elle vraiment retrouvé la liberté ? Être une femme en Algérie est déjà propice à l’enfermement et au silence.
Nulle autre voix est un texte sur la violence ordinaire d’une société qui ne pardonne rien aux femmes – jusqu’à ce que, parfois, elles commettent l’irréparable.
distribution
Maissa Bey : texte
Kheireddine Lardjam :adaptation théâtrale et mise en scène
Linda Chaïb et Salah Gaoua :acteur·rice
Manu Cottin : création lumière
Thibaut Champagne : son
Solidaire et investie dans la lutte contre les violences envers les femmes et plus généralement envers le genre humain, la Ville de Schiltigheim ouvre ses horizons et se penche sur la condition de la femme à l’extérieur de l’hexagone, et sur tout ce qui contribue et initie les revendications féministes.
Dans un premier temps, en lien avec le Festival Strasbourg Méditerranée, le texte de Maissa Bey interrogera la violence ordinaire.
Dans un deuxième temps, en partenariat avec l’Association Culturelle des Afghans de Strasbourg, la condition de la femme à travers les époques sera évoquée à travers la musique et la poésie afghane.
Parce qu’il est essentiel de continuer à nous mobiliser massivement afin de défendre les droits de toutes les femmes d'ici et d'ailleurs.
25 rue principale 67300 Schiltigheim, France
Tarifs de 6€ à 16€